Alors que la presse nationale a crié une «première victoire sur le déficit budgétaire» ce jeudi matin, Standard and Poor’s de son côté, a annoncé une révision de la perspective de la note du Maroc : négative. Et le Maroc risque une dégradation de sa note.
C’est la consternation chez les professionnels. Fin août, les exportations d’huile d’olive marocaine ont connu une baisse légendaire, la compétitivité marocaine sur le marché international étant mise à mal.
Avec la conjoncture actuelle, le secteur de l'immobilier marocain en a pris un coup et les preneurs sont les bienvenus. Les prix ayant connu une certaine baisse, les promoteurs français présents au Maroc font leur publicité, au détail près. De quoi booster les ventes?
La dernière étude de l'Institut national de la statisque et des études économiques sur les «Immigrés et les descendants d'immigrés en France» révèle que les filles marocaines obtiennent plus le baccalauréat que les filles d'origine française. Cependant, l'accès au marché de l'emploi pour les fils et filles d'immigrés reste quelque peu limité.
130 millions d’euros. C’est le montant du nouveau prêt que vient d’octroyer l’Union européenne [UE] à l’Office chérifien des phosphates [OCP] en vue de soutenir la modernisation de ses infrastructures.
Il y a tout juste une semaine, une enquête du HCP révélait l’insatisfaction des Marocains quant aux services de santé. Aujourd’hui, ce sont les médecins qui montent à la charge contre le gouvernement et revendiquent un meilleur traitement.
1,5 million. C’est le nombre de femmes âgées recensées au Maroc, soit 100 000 de plus que les hommes, selon les derniers chiffres du Haut commissariat au plan (HCP). Cette tranche de la population, très exposée au veuvage, vit dans une situation de vulnérabilité poussée.
C’est une première. La capitale française accueille pour la première fois, la Black Fashion Week et parmis les multiples stylistes invités figurent des Marocains très amis de la mode africaine.
Eh oui! ils sont nombreux, beaucoup plus qu'on ne le croit, ces Marocains qui s'adonnent à la culture du kif. Mais la grosse part du business liée à cette herbe reste l'apanage des grands trafiquants.
Après avoir tiré la sonnette d’alarme sur le niveau de chômage des jeunes au Maroc [cf notre article], la Banque mondiale, dans son dernier rapport sur le développement dans le monde, dénonce «l'injustice» qui règne dans le marché de l’emploi au royaume chérifien.