Après des mois de silence, le Polisario revient sur le dossier d’El Guerguerate par un message adressé au secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Il s’agit de doléances de la part de Brahim Ghali, élu de la RASD, qui se plaint de la présence du Maroc sur la zone tampon. Pourtant, le Front Polisario affirmait avoir enregistré une «victoire» sur cette question.
L’hebdomadaire Jeune Afrique revient sur la réunion du 29 novembre à Abidjan, entre le roi Mohammed VI et le président sud-africain Jacob Zuma. La publication affirme que l’entrevue «préparée depuis deux mois (…) a duré une heure, dont une bonne partie en tête à tête (et en anglais)». Elle a porté essentiellement sur le dossier du Sahara. «Le président sud-africain a
«Khat Achahid» et Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud n’ont pas eu le même traitement pour exprimer librement leurs idées que les auteurs de l’«Initiative sahraouie pour le changement». Son coordinateur multiplie les actions dans les camps de Tindouf et se déplace même en Espagne.
Les Marocains convertis au christianisme ont récemment adressé leurs doléances au Chef du gouvernement et aux présidents des deux Chambres parlementaires. Espérant faire valoir le droit de pratiquer leur culte, ils ont déjà été reçus en avril par le secrétaire général du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH).
Une formation politique surfe une nouvelle fois sur la vague d’une vielle revendication du mouvement amazigh portant sur la célébration officielle du Yennayer. Après l’épisode Hamid Chabat alors secrétaire général de l’Istiqlal, en 2015, c’est au tour de l’USFP de jouer cette carte.
Le mouvement officiel de solidarité avec les Palestiniens s’est invité hier soir à la Chambre des représentants. Une réunion marquée par l’exhumation de vieilles propositions de loi pénalisant la normalisation avec Israël, et par des protestations de parlementaires réclamant que le communiqué final comporte «Al Qods capitale de l’Etat palestinien» et non seulement Jérusalem-Est.
A cinq jours du sommet de la CEDEAO d’Abuja, le groupe des députés de l’Istiqlal a interpellé le gouvernement, à l’occasion de la session des questions orales cet après midi, sur la demande d'adhésion du Maroc au groupement régional. La secrétaire d’Etat au ministère des Affaires étrangères a rappelé que la décision de rejoindre la Communauté économique des
En 2012, le Maroc a connu l’émergence de leaders populistes propulsés à la tête de partis politiques. Une manœuvre destinée à circonscrire l’influence de Benkirane. Cinq ans plus tard, le PJdiste et Hamid Chabat ont été contraints de céder leurs postes. Seul Ilyas El Omari fait encore de la résistance.
Le 8e congrès du PJD restera dans les annales. Pour la première fois, Abdelilah Benkirane est absent de la composition du secrétariat général du parti. Contrairement aux fidèles du numéro 1 sortant qui ont subi le même sort, les amis de Saâdeddine El Othmani sont présents en force.
Le 8e congrès du PJD s'est conclu sans surprise. Saâdeddine El Othmani a remporté la course au poste de secrétaire général avec 1006 voix contre 912 pour Driss Azami. Après avoir dirigé le parti de 2004 à 2008, El Othmani reprend le gouvernail de la Lampe et ce après 9 ans de mandats Benkirane. Pour rappel, le passage d’El Othmani avait été marqué par le revers des islamistes aux élections