Cinq jours après l’attentat de Boston, une certaine presse américaine, abonnée aux méthodes Rupert Murdoch, à défaut de trouver le scoop, l’invente tout simplement. C’est ce qu’elle a commis en accusant deux jeunes marocains. La suite des événements a innocenté nos deux MRE.
Le 8 mai 2012, le roi Mohammed VI installe les membres de la Haute instance du dialogue national sur la réforme de la justice. Seules trois semaines nous séparent de son première anniversaire et toujours pas le moindre rapport sur ses nombreuses réunions dans les quatre coins du pays. En revanche, il a fallu à trois ONG internationales quelques jours passés au Maroc pour diagnostiquer le mal de la justice, le localiser et prescrire le remède.
Le 5 septembre 2012, la Mauritanie décide, enfin, d'extrader Abdellah Al Senoussi aux nouvelles autorités libyennes. Le 15 avril, première réunion avec des membres de HRW au cours de laquelle il accuse les autorités marocaines de l’avoir arrêté pendant 12 jours du 5 au 17 mars 2012.
Un article du correspondant de l’AFP au Mali évoquant la fuite de membres du Mujao et AQMI aux camps de Tindouf, a fait sortir l’Algérie et le Polisario de leurs gonds.
Même si les coupes budgétaires décidées par le gouvernement Benkirane ont amputé la Direction de la Défense de 600 millions dédiés à l’investissement au cours de cette année, elle compte acquérir de nouveau matériel. Le département de Loudiyyi a mis le cap vers l’Espagne où il envisage d’acquérir des véhicules blindés. L’impératif de renforcer
En plein débat sur la réforme de la constitution, printemps 2011, les religieux soutenus par le PJD, le MUR et les salafistes se sont opposés à la constitutionnalisation de la liberté de conscience. Ils ont eu gain de cause. Cette fois, c’est le conseil supérieur des oulémas qui émet une Fatwa contre ce principe alors même que l’Etat marocain a ratifié, depuis 1979, le Pacte international sur les droits civils et
L’effeuillage du portefeuille du holding royal se poursuit dans la filière de l’agro-alimentaire. SNI a vendu une partie de ses actions dans la société Cosumar à un groupe singapourien.
Mercredi dernier, la justice condamne un épicier marocain de Rabat à un an de prison, dont seulement deux mois ferme, pour de présumés attouchements sexuels sur le fils, mineur, du vice-ambassadeur algérien. Une affaire qui n’est pas sans rappeler celle d’Islam Khoualed. La presse algérienne a boudé cette information.
Septembre 2011, dans un entretien accordé à la revue Le Débat, le prince Hicham se disait confiant en l’avenir du Maroc : «je suis également optimiste, à terme, pour le Maroc, qui devrait se démocratiser progressivement». Sept années plus tard, la potion de la démocratie à petites doses, comme défendait Hassan II contre la démocratisation tout azimut soutenue par François Mitterrand lors du
L’apprentissage du Maroc aux nouvelles technologies de l’information et de communication se fait à pas de tortue. Sur un total de 144 pays qui font l’objet d’un classement du World Economic Forum, le royaume est 89e. Très loin, même trop, derrière le Qatar 23e ou la Jordanie 47e.