Hindi Zahra a enflammé le public, jeudi 23 mai, au festival Timitar à Agadir. Elle chante jazz and blues en anglais avec quelques apartés en amazigh, elle vit en France et est née à Khourigba dans une famille de musiciens. Elle chante comme elle vit : «ce que j’aime dans la musique c’est trouver des ponts».
Un colloque médical des Marocains du monde aura lieu le 25 juin, à Paris, à l’invitation du ministère des MRE, dans le cadre du programme Fincome. Premier du genre, il va initier la mise en réseau des quelque 1400 médecins marocains résidant en France. Objectif : faire profiter le Maroc des compétences de ces médecins.
Le festival Timitar a débuté hier soir, mercredi 22 juin, à Agadir et se pousuivra jusqu'au 25 juin. Un surprenant mélange musical entre Gnaouas d’Agadir et musique celtique de Bretagne à ouvert le festival qui se targue de participer à la circulation mondiale des artistes.
Un rapprochement inédit a défrayé la chronique, en avril : Omar Djellil «pur produit de la banlieue parisienne», responsable à la mosquée Camille Pelletan à Marseille, a engagé le débat avec Stéphane Durbec, conseiller régional du Front National en PACA et Jean-Marie Le Pen lui-même. 5% des Français musulmans voteraient à l’extrême droite. Absurde ? Non. Un rapprochement
La Place Jamaâ el Fna est connue dans le monde entier. Son classement au patrimoine oral et immatériel de l’humanité, il y’a 10 ans, par l’Unesco, a participé à la renommée de la place. Moins connu, le classement exige aussi de l’Etat marocain qu’il protège ce patrimoine, or la folklorisation de la place menace.
Rachida Aziz va lancer la confection d’une partie de ses collections de vêtements au Maroc. La jeune femme est une styliste déjà renommée. Elle a créé la griffe Azira à Bruxelles, en 2008. Ancienne assistante sociale, elle est fortement engagée dans une démarche éthique. Elle veut montrer, à travers sa ligne de vêtements, que la véritable liberté ne se situe pas dans le dévoilement du
L’ouvrage «La femme artiste dans le monde arabe» de Rita El Khayat, publié en mai 2011, évoque tour à tour les différentes figures féminines de l’art arabe depuis ses origines. Il insiste sur le rapport entre la situation de ces femmes dans la société et leurs pratiques artistiques.
Kenza Isnasni a gagné le prix de la Marocaine résidant à l’étranger de la Course féminine de la victoire, organisée par l’athlète Nezha Bidouane, le 24 avril, à Rabat. Elle a participé en tant que marraine de l’association «Le sourire des sans voix». La jeune femme, depuis le tristement célèbre assassinat de ses deux parents, à Bruxelles, en 2002, n’a cessé de se battre
Rencontrer Choumicha, c’est un peu comme rencontrer une vieille amie, l’aura télévisuelle en plus. La surprise n’est effectivement pas de mise puisque tout Marocain qui se respecte a biberonné aux sons de sa voix expliquant comment associer légumes et couscous. L’absence de décalage entre le personnage de télévision, cuisinière dans une émission de 2M, toujours souriant et doux et la femme, bien
Mazagan a connu une vie comme peu de villes en connaissent. Citadelle portugaise imprenable, elle a résisté, deux siècles durant, aux assauts marocains, avant d’abdiquer en 1769. Les habitants fuient et fondent Novo Mazagào en Amazonie. Au Maroc, en 1832, la forteresse effondrée est rénovée par le sultan Moulay Abd ar-Rahman. Elle devient : El Jadida.