Le pluralisme religieux n’est pas garanti au Maroc, observe un collectif d’associations maghrébines des droits de l’Homme. Le législateur autorise, dans la constitution du 1er juillet 2011, la liberté de l’exercice du culte. En revanche, il s’est gardé de mentionner les cas de Marocains qui se convertissent au christianisme ou changent leurs convictions religieuses, à l'instar des chiites.
En plus de ses réseaux au sein de l’appareil du parti Républicain et des organisations juives aux Etats-Unis, le Maroc peut compter sur l’appui de Walid Pharès, un Américain d’origine libanaise, conseiller en politique étrangère de Donald Trump. En revanche, l’expert est connu pour son opposition aux partis islamistes. Eclairage.
Le ministère des Affaires étrangères a dépêché lundi 21 novembre une «mission d’inspection à l’ambassade du Maroc à Antananarivo, suite à des informations “recoupées” sur des agissements de l’ancien ambassadeur à Madagascar», indique le département dans un communiqué. Le diplomate est soupçonné de «détournements de fonds à
Si le PPS se montre plus discret dans la bataille médiatique autour du blocage des consultations pour la formation d’un nouveau gouvernement, l’Istiqlal compense cette retraite avec un soutien franc à Abdelilah Benkirane, et ce en pilonnant sans relâche les positions de ses adversaires.
Abdelilah Benkirane annonce la suspension des consultations pour la formation d’un nouveau gouvernement, notamment avec le Mouvement populaire (MP) et l'USFP. Dans des déclarations au quotidien Akhbar Al Yaoum, il dit préférer attendre le retour au Maroc du président du RNI, Aziz Akhannouch, actuellement en Afrique, pour relancer les négociations, plutôt que de se réunir avec les secrétaires généraux de l’USFP
Abdelilah Benkirane est déçu de la couverture des médias officiels de ses activités à l'occasion du sommet de la COP22. Le chef du gouvernement désigné a confié à des membres de l’organisation de la jeunesse du PJD avoir reçu des responsables internationaux, dont le président français et le Premier ministre tunisien, sans que ses réunions n'aient toutefois été diffusées par les
Le Maroc et l’Algérie se sont invités dans les primaires de la droite en France. Chacun a parié sur son candidat : Nicolas Sarkozy pour le Maroc et Alain Juppé pour l’Algérie.
Al Hoceima a connu, hier soir, une nouvelle protestation. La participation était moins forte que celles enregistrées les précédentes fois. En cause, des divisions apparues entre les meneurs de la contestation. La semaine dernière, des personnes ont annoncé la création de leur propre enseigne, appelée «le Mouvement du 28 octobre».
Le Maroc continue de glaner les soutiens de pays reconnaissant la «RASD» à sa demande d’adhésion à l’Union africaine. Après le Rwanda et la Tanzanie, c’est au tour de l’Ethiopie de s’ajouter à la liste. Le premier ministre «Hailé Mariam Dessalegn a exprimé l’engagement ferme de l’Éthiopie pour la réalisation totale des valeurs et principes de l’Union africaine. Dans
Six semaines après la tenue du scrutin du 7 octobre, la constitution du nouveau gouvernement reste toujours indécis. L’Istiqlal de Hamid Chabat, animé par des calculs personnels, ne cesse de défendre l’option de législatives anticipées. Détails.