Il y a deux jours, le Premier ministre algérien annonçait une prochaine visite de John Kerry dans son pays. Hier, l’AFP a avancé que le chef de la diplomatie américaine ferait aussi une escale au Maroc. De son côté le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi, n’a ni confirmé ni infirmé une telle nouvelle.
Le torchon brûle entre les associations des diplômés sans travail et le gouvernement. Les premiers demandent, toujours, un accès direct à la fonction publique sans avoir à passer par les fourches caudines du concours alors que Benkirane refuse de céder. Les sans-emplois, en signe d’escalade, viennent d’encercler les véhicules des ministres. Désormais, Abdelilah Benkirane n’est plus le seul visé.
Un nouveau procès concernant une affaire de pédophilie vient de s’ouvrir à Tétouan. Cette fois, il s’agit d’un Britannique qui compte des antécédents en Espagne et deux condamnations dans son pays natal. Sans oublier un mandat d’arrêt lancé contre lui par Interpol.
Les relations diplomatiques tanguent au rythme des intérêts. En juin dernier, Wendy Sherman, la n°2 de la diplomatie américaine, chargée des questions politiques, qualifiait, lors d’une visite à Alger, le plan marocain d’autonomie au Sahara d’«option crédible que nous saluons». Trois mois plus tard, changement de décor. Le Maroc est pointé du doigt, par John Kerry, pour des violations de droits de
Le projet de loi de finances 2014 vient d'être rendu public. Les regards ont tous convergés vers les lignes de budget consacrées au Palais royal. Contrairement à certains ministères, on ne touchera pas au budget royal, austérité ou pas. Le gouvernement Benkirane a même prévu une petite hausse de 8,7 millions de dirhams.
Hier la plénière du parlement européen a adopté un rapport, sans conséquence politique, de l’eurodéputé britannique Charles Tannock sur le Sahel. Bien que l’intitulé du texte soit «la situation des droits de l'homme dans la région du Sahel», Tannock l’a métamorphosé en un réquisitoire contre le Maroc, dénonçant les violations des droits de l’homme au Sahara
C’est dans une salle du Club des avocats à Rabat, archicomble, que s’est tenue, hier, une conférence de presse animée par Aboubakr Jamaï et Abderrahmane Ben Ameur, l’ancien coordinateur de la défense d’Ali Anouzla. Un troisième homme, bien qu’il soit absent, a été, également, la vedette de cette rencontre. Il s’agit de Hassan Semlali. Le nouvel et unique avocat du journaliste.
La mobilisation en faveur d’Ali Anouzla a baissé d’un cran. Preuve en est le sit-in organisé aujourd’hui à Salé. Les défections étaient nombreuses. Quelques slogans scandés pour la circonstance et les rares participants sont vite rentrés chez eux. L’interrogatoire avec le journaliste se poursuit encore.
Ce mardi 22 octobre est une journée décisive pour Ali Anouzla. Vers 10 heures du matin, il aura rendez-vous avec un juge d’instruction. Sa mise en liberté provisoire est une option à ne pas écarter, sachant que le journaliste a présenté des gages de sa bonne foi. Il a, en effet, pris ses distances avec la nouvelle direction de Lakome et avec les avocats qui assuraient, jusque là, sa défense.
En attendant de connaître le successeur de Rachid Taoussi à la tête des Lions de l’Atlas, la Fédération de football élira, le vendredi 25 octobre son président. Deux PAMistes se disputent le poste. L’un d’eux, Abdelilah El Akram, président du WAC, s’était même présenté, dans une circonscription de Casablanca, aux législatives de novembre 2011 sans parvenir à arracher son