Les attaques des islamistes marocains contre les femmes se poursuivent. La toute dernière est l’œuvre d’Ahmed Raissouni, confortablement installé au Qatar. Détails.
Au fil des jours, des indicateurs émergent annonçant le retour annoncé à l’ère de la centralisation la plus dure. Après les présidents analphabètes, le ministère de l’Intérieur a mis sur la table des négociations la nomination d’un directeur du conseil communal. Vers une nouvelle forme de tutelle ?
Devant les sénateurs, le chef de la diplomatie marocaine s'est dit convaincu de l'implication des services de renseignement algériens dans la fuite de documents confidentiels de son département sur Twitter.
Aujourd’hui s’est tenu un conseil de gouvernement très particulier. Le siège à droite de Benkirane, qui revenait d’habitude à Abdellah Baha, était occupé provisoirement par Salaheddine Mezouar. Des candidats PJDistes pourraient remplir le poste de Baha. Benkirane devrait choisir, avec la bénédiction du Palais, parmi ses plus fidèles un remplaçant au défunt.
Même si des rapports d’ONG internationales, du parlement européen, de la Douma russe et de témoignages d’anciens détenus de Guantanamo pointent, tous, du doigt l’implication du Maroc dans le programme de torture de la CIA, des documents révélés de l’agence américaine ne mentionne pas le royaume.
Les funérailles du ministre d’Etat, Abdellah Baha, a réuni presque toutes les composantes de la société marocaine. Une délégation de la communauté marocaine de confession juive, conduite par Serge Berdugo, était présente, mardi 9 décembre, au cimetière «Chouhada» de Rabat pour présenter ses condoléances au chef du gouvernement. Une présence qui ne constitue guère une
En 1986, le gouvernement de Felipe Gonzalez accordait la nationalité espagnole à la population d’origine marocaine de Ceuta et Melilla. Vingt-huit ans plus tard, l’intégration n’est toujours pas au rendez-vous. Pire encore, la continuité de l’ordre établi depuis 1497 est sérieusement menacée. C’est le constat d’un rapport d’un think-tank espagnol.
L’Algérie a une longueur d’avance sur le Maroc sur la simplification de certaines procédures administratives qui touchent le quotidien des citoyens. La légalisation des documents administratifs n'est désormais plus exigé.
Désormais, les Marocains n’ont plus droit à une carte de séjour à durée illimitée en Algérie. Le pouvoir en place l’a remplacée par une temporaire de trois mois. Les Tunisiens sont logés à la même enseigne que les Marocains. Ce changement est justifié par l’implication présumée de ressortissants des deux Etats dans des affaires de terrorisme et de trafic de drogue.
La Chambre basse du parlement a connu, cet après-midi, une séance de questions orales très particulière. Dans l'ensemble, elle n’a duré que vingt-minutes. Les députés de la majorité gouvernementale comme ceux de l’opposition ont tous sollicité de la présidence, la levée de la séance par respect et solidarité avec leurs collègues du PJD, encore sous le choc du