La présidence de la Chambre haute du parlement est revenue au PAM. Le candidat du Tracteur, Hakim Benchemmach, a remporté la victoire avec une seule voix d’écart (58 contre 57) le séparant de son rival de l’Istiqlal, Abdessamad Kayouh, et ce après le recours au deuxième tour. L’élection a duré plus de cinq heures avec des moments de hautes tensions entre les partisans des deux prétendants. Le PAMiste a eu le
Après les inquiétudes soulevées en Espagne par les armes acquis par le Maroc, des milieux dans ce pays se voulant protecteurs de toute l’Europe alerte d’un «plan» de la DGED visant à infiltrer des institutions de l’Union européenne.
En l’absence de réaction officielle du Royaume face à l’intervention russe en Syrie, ce sont les salafistes marocains qui comblent ce vide, en condamnant les frappes aériennes décidées par le président Vladimir Poutine. Pour une fois des radicaux sont sur la même longueur d’onde que les autorités françaises ou américaines.
Quelques semaines après la sortie de son livre, Zakaria Moumni revient à la charge. Bénéficiant désormais de la nationalité française, le sportif a déchiré son passeport marocain en direct sur le plateau de TV5.
Après le cas Ali Lmrabet qui réclamait le droit de bénéficier du renouvellement de ses documents administratifs, plusieurs militants de la société civile ont été interdits de sortir du territoire. Le dernier en date, l'historien Maâti Mounjib.
Une nouvelle offensive de partis marocains de droite vers Stockholm. Le PJD, PAM, RNI et l’UC ont pris la relève de la délégation de formation de gauche conduite par Nabila Mounib, secrétaire générale du PSU, qui s’est déplacée la semaine dernière au pays scandinave. Le Royaume souhaite ainsi accentuer la pression sur les politiques suédois. La visite de Saâd Dine El Otmani du PJD, Mohamed Sajid de
Demain se tiendra l’élection du président de la Chambre des conseillers. Le PAM et l’Istiqlal convoite le même poste, avec le PJD dans le rôle d'arbitre. Un vote des islamistes en faveur du candidat du PI pourrait sceller les retrouvailles entre la Lampe et la Balance.
Le cheikh saoudien Mohamed Laârifi ne viendra finalement pas au Maroc. Il a annoncé «reporter» son projet de visite au royaume, prévue le 25 octobre, à une «date ultérieure» sur sa page Facebook. La polémique qu’a soulevée son invitation par le Mouvement unicité et réforme à donner un cours à Rabat est à l’origine de sa décision. Des associations modernistes
Les services de renseignements de Rabat et Londres sont au courant de projets d’attentats de l’ «Etat islamique» visant les touristes britanniques qui se rendent au Maroc. En vue de parer à un tel risque, la Grande-Bretagne va dépêcher ses meilleurs éléments en désamorçage des bombes pour former des soldats des FAR.
Des chiites et quelques associations modernistes s’opposent à la présence au Maroc d’un religieux saoudien. Chacun est cependant motivé par ses propres raisons pour dénoncer la visite.