Zine El Abidine Ben Ali, le président tunisien aujourd’hui déchu, voit ressurgir les histoires les plus sordides ou les plus coquasses de son passé. En août, l’hebdomadaire tunisien Haqaeq révélait qu’il avait une fille cachée au Maroc (voir notre article). Une affaire qui avait déclenché, à l’époque, la colère du défunt roi Hassan II. Aujourd’hui, c’est au tour du
Moncef Belkhayat a fait du tic au tac vendredi dernier. Le ministre de la Jeunesse et des Sports a très vite réagi pour démentir les informations affirmant que son véhicule de fonction couterait à l’Etat la rondelette somme de 3 200 000 Dh. Le ministre a tant bien que mal tenté d’apporter des arguments qui sont tout sauf convaincants. Décryptage.
La finance mondiale traverse une phase de turbulence extrêmement dangereuse. De la Grèce aux Etats-Unis, la dette publique est en train de mettre à genoux l’économie de nombreux pays. La mal gouvernance, la corruption, les réductions fiscales pour les plus riches sont des facteurs de l’aggravation de la dette. Qu'en est-il pour le Maroc ?
Les passagers de Royal Air Maroc ce week-end pensaient avoir tout vu en termes de désorganisation et de pagaille : annulation de vols, retard de plusieurs heures, absence de prise en charge par les services de la RAM… Ce n’est pourtant rien face à ce qu’ont vécu les passagers du vol AT641 à destination de Marrakech. Après des annulations, des retards, un transfert de Orly vers Roissy, ils ont vécu la frayeur de leur vie avec un
24 heures de retard au départ de Londres, 2 jours à Casablanca, et ce après une intervention des CRS à Lyon. La compagnie aérienne nationale est un peu à l’image de ce vieil athlète face aux jeunes coureurs. Royal Air Maroc a dû faire face à l’ouverture du ciel marocain (accord Open Sky) et l’arrivée de nombreuses compagnies notamment low-cost. Résultat : des difficultés financières,
La saison estivale débute mal pour la compagnie aérienne nationale. La Royal Air Maroc (RAM) doit faire face à une vraie pagaille pour le premier week-end chargé de l’été. Des retours de passagers mécontents nous sont parvenus aujourd’hui depuis Paris mais également Lyon. Récit.
Je n’ai jamais eu aussi honte de l’un de nos ministres qu’aujourd’hui en visionnant l’intervention de Nouzha Skalli sur France24. Pourtant Dieu sait qu’il y avait déjà matière à rougir avec certaines de nos têtes d’ampoules gouvernementales qui ne sont pas à la hauteur des défis que doit affronter le Maroc.
20 février, 9 mars, 17 juin, 1er juillet, l'année 2011 n'est entamée qu'à moitié, que nous avons déjà une ribambelle de dates qui marqueront l'histoire contemporaine du Maroc. Le référendum sur la constitution qui sera sûrement un plébiscite au vu des scènes de liesse (spontanées ou non) après le discours du roi vendredi dernier devrait marquer l'entrée dans une ère nouvelle, le
Les dernières semaines, nous avons assisté à un coup de billard à 3 bandes inattendu. Dominique Strauss-Khan, patron du FMI, est inculpé, à New York, pour agression sexuelle et viol sur une femme de chambre à l’hôtel Sofitel. Si ce n’est l’enfance de DSK passée à Agadir et sa propriété à Marrakech, le Maroc n’est pas concerné par ce scandale politico-sexuel aussi
Les affaires de ces étrangers ou néo-français qui ne s’intègrent pas à la société française se sont multipliées ces dernières années. Les médias en ont fait leurs choux gras, et les politiques ont opportunément appuyé sur la plaie pour mieux diviser les Français.