La polémique autour des propos de Hamid Chabat sur la Mauritanie voisine et la dernière sortie médiatique du ministère des Affaires étrangères et de la coopération (MAEC) ont fait l’objet, hier, d’une réunion du comité exécutif du parti de l’Istiqlal (PI). A l’issue de cette rencontre, l’organe exécutif du parti de la Balance a sorti, lui aussi, un communiqué de presse dans lequel
La formation du prochain gouvernement n’est pas le seul sujet chaud dans les rangs du Parti de la justice et du développement en ce moment. Les militants PJDistes sont mécontents quant à l’enquête ouverte concernant les internautes ayant salué l’assassinat de l’ambassadeur russe en Turquie la semaine dernière. Ils dénoncent notamment l’interpellation de 4 personnes par le BCIJ.
La décision d'arrêt de l'exécution de la peine de mort à l'échelle internationale a fait l’objet d’un vote, lundi 19 décembre dernier, à l’Assemblée générale des Nations Unies. Une séance durant laquelle le Maroc s’est abstenu du vote pour la 6ème fois. Une position critiquée ce lundi par la Coalition marocaine contre la peine de mort, qui s’est fendu d’un
Hamid Chabat a semble-t-il ouvert la boîte de Pandore. Le Front Polisario dirigé par Brahim Ghali a saisi dimanche la crise entre le Parti de l’Istiqlal et d’autres formations politiques mauritaniennes pour fustiger le Maroc. Dans un communiqué relayé par son «agence de presse», le Front Polisario a dit «condamner les déclarations provocatrices du secrétaire général du parti nationaliste marocain
Les relations politiques entre le Parti de l’Istiqlal et l’Union mauritanienne pour la République connaissent de graves tensions au lendemain des propos tenus par Hamid Chabat, dans lesquels le chef de file de l’Istiqlal a déclaré que «la Mauritanie est une terre marocaine». Après le communiqué virulent de l’UpR du dimanche, vient ensuite un autre signé par le comité exécutif de l’Istiqlal ce lundi.
Le Maroc n’a toujours pas de gouvernement, plus de deux mois après la désignation, par le roi Mohammed VI, d’Abdelilah Benkirane, pour former un nouvel exécutif. Les négociations entre la formation politique du chef du gouvernement désigné et les autres partis sont toujours bloquées. Le Rassemblement national des indépendants (RNI) maintient sa condition relative à la mise à l'écart du Parti de
Le Maroc est sans gouvernement depuis plus de deux mois, mais cela ne décourage pas la société civile, à l’instar de l’Organisation de recherche d’une plateforme commune (ORPC) et le Mouvement pour la défense de l’égalité d’accès à l’éducation. Les deux ONG ont, en effet, organisé jeudi à Casablanca une table ronde autour de la thématique : «Scolarité
Zoubida, Yasmina, Kenza et Fadoua sont quatre marocaines mariées à des ressortissants étrangers, français pour les trois premières, irano-norvégien pour la dernière. Leur expérience diffère donc mais comporte, toutefois, quelques similarités. Témoignages.
Le ministère de l’Intérieur, épaulé par le ministère de la Justice et des libertés, a ouvert une enquête sur les commentaires de plusieurs internautes marocains, ayant salué l’assassinat, lundi à Ankara, de l’ambassadeur russe en Turquie. Les deux départements rappellent que l’«apologie du terrorisme» est «punissable par la loi». Détails.
D’abord sympathisant puis membre du Conseil national, secrétaire national adjoint professions libérales et enfin secrétaire national à l’innovation d’avril à décembre 2016, le Franco-marocain Karim Bouamrane est officiellement le porte-parole du Parti socialiste (PS) depuis samedi dernier. Retour sur son expérience ainsi que ses prochaines missions, qui ne seront pas faciles, compte tenu de la conjoncture politique actuelle.