Le Maroc a remis au secrétariat général des Nations Unies les noms de 84 membres de la composante politique de la Minurso. Une sanction accompagnée par l’arrêt de la contribution volontaire du royaume -estimée à trois millions de dollars par an- dans le fonctionnement de la mission onusienne. Justement cette dernière sanction était au cœur d’une réunion à huis clos, au Conseil de sécurité
Le Maroc renoue les contacts avec son premier partenaire économique. Une décision annoncée aujourd’hui par le gouvernement marocain. Un revirement alors que le 4 mars le royaume exigeait de l’Union européenne de «corriger» l’arrêt du 10 décembre de la cour de justice de l’UE.
La secousse tellurique d’hier a fait sortir dans les rues des dizaines d'habitants de communes proches d'Al Hoceima. Ils ont réclamé la distribution de tentes et d'aides. Pour le moment les autorités locales préfèrent contenir la colère de la population par le dialogue. Mais jusqu'à quand ?
L’onde de choc de la grave crise entre le Maroc et le secrétaire général des Nations Unies aurait atteint le Conseil de sécurité. La présidence tournante des Quinze (pour le mois de mars) aurait demandé à Ban Ki-moon de lui présenter des explications, non officielles, sur la tension avec le royaume, nous confie une source proche du dossier. L’instance onusienne aurait exprimé des inquiétudes sur
L’ONU ne compte pas mettre un terme au mandat de la Minurso au Sahara occidental. L’organisation, regrette la décision marocaine d’expulser des membres de la composante politique de la mission onusienne et de réduire sa contribution volontaire au fonctionnement de la Minurso. Celle-ci est estimée à 3 millions de dollars par an. Stéphan Dujarric, l’un des porte-paroles de Ban Ki-moon, s’est dit confiant en la capacité de
Les paroles ont été très rapidement suivies des actes. Le Maroc a remis la liste des noms des membres de la composante politique de la Minurso qui devront quitter le Sahara dans les prochains jours. Une sanction à laquelle s’ajoute l’arrêt de la contribution financière au budget de la mission onusienne.
Les déclarations de Ban Ki-moon dans les camps de Tindouf et à Alger hostiles aux intérêts marocains, indiqueraient une grave divergence de vues entre le Maroc et les Etats-Unis, soutenus par la Grande-Bretagne, sur la question du Sahara. Les deux pays seraient favorables à une autre voie qui dépasserait la proposition d'autonomie proposée par le Maroc.
Le modèle religieux marocain séduit Vladimir Poutine. Le président russe a autorisé le «Conseil de la Choura des Muftis de Russie», la plus grande organisation musulmane du pays, à signer un mémorandum d’entente avec le ministère des Habous et des Affaires islamiques. Moscou permet ainsi à des imams marocains d’effectuer des visites en Russie pour y donner des cours et promouvoir un islam modéré dans
La Chambre des appels correctionnels près la cour d’appel de Fès a prononcé, hier soir, son verdict dans le dossier du meurtre de l’étudiant Abderrahim El Hasnaoui, survenu le 24 avril 2014 à la faculté de Droits de la même ville. Dans l’ensemble, les juges ont réduit les peines prononcées, en juin 2015, contre huit accusés. Cette relative clémence a profité essentiellement à cinq
Le Maroc a été le théâtre d’une nouvelle marche contre Ban Ki-moon. Elle s’est tenue dans l’après-midi du mardi 15 mars à Laâyoune. Des milliers de sahraouis, portant des drapeaux marocains et vêtus de «Darraiya», ont sillonné les rues de la capitale de la région. La MAP a estimé leur nombre à «plus de 180 000 personnes». C’est la première grande manifestation