Le PJD a du mal à accepter la mise à l’écart du maire de Rabat de la prière du vendredi accomplie par le roi Mohammed VI. Mais ce genre de sanction n’est pas inédit. D’autres élus locaux à Tanger, Fès, Agadir et Casablanca avaient été la cible de la colère royale avant l’actuel maire de la capitale.
Lors de la visite de Manuel Valls à Alger, le dossier du Sahara occidental était au menu. Abdelmalek Sellal aura tenté d'arracher un changement de la position française sur la question, mais sans succès.
La campagne électorale des législatives du 7 octobre a commencé avant l’heure. Hier soir, dans une salle de cinéma à Salé, Abdelilah Benkirane a donné le coup d'envoi de la sienne. Il a appelé les Marocains à ne pas voter en faveur du PAM, tout en ne tarissant pas d'éloges à l'égard de ses «frères» au sein de l’Istiqlal.
Le ministre de l’Intérieur est dans le viseur des députés et conseillers du PJD. Réunis hier à Rabat, les islamistes ont annoncé leur rejet de la baisse du seuil pour les listes locales de 6 à 3% à l'occasion des législatives du 7 octobre. Une mesure proposée par le département de Mohamed Hassad qui ne sert en aucun cas les intérêts des islamistes. En cas d'adoption par le parlement, les partisans
Le maire de Rabat est-il devenu persona non grata ? Mohamed Seddiki a été écarté de la liste VIP de la prière du vendredi accomplie par le roi Mohammed VI dans une mosquée de la capitale. Une mise à l’écart qui a valeur de sanction pour le PJDiste. Elle devrait alimenter les rumeurs sur une possible révocation du maire par la tutelle. Une perspective d'autant plus plausible que Seddiki fait l’objet de deux enquêtes
Les fuites des Panama Papers prennent une nouvelle tournure au Maroc. Le Collectif des associations des droits de l’Homme, qui réunit une vingtaine d’ONG, demande au chef du gouvernement d’ouvrir une enquête judiciaire avec les noms de Marocains cités dans cette affaire.
Mohamed Abbadi, le secrétaire général d’Al Adl wal Ihssane, vient de jeter un pavé dans la marre. Il a plaidé, dans une vidéo, pour la réinstauration du régime de califat, 92 ans après son abolition par Mustapha Kemal. Le religieux a estimé qu’un bon musulman, qui se conforme aux principes de l’islam, ne devrait pas passer trois jours sans calife. Le successeur d’Abdeslam Yassine a appelé
La question du Sahara était au menu de la réunion, tenue hier soir à Manama, au Bahreïn, entre les chefs de la diplomatie des pays du Conseil de coopération du Golfe et John Kerry. «Les ministres ont exprimé leur soutien au Maroc frère en ce qui concerne la question du Sahara», a déclaré à la presse le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adil Al Joubeir. Ils ont par ailleurs «mis
Le Maroc et les Nations Unies semblent disposés à clore l’épisode de crise. Les deux parties négocieraient en secret une solution à Genève.
Le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, a défendu cet après-midi l’expulsion de huit ressortissants européens «pour trouble à l’ordre public», selon le communiqué de la wilaya de Rabat. Mustapha El Khalfi a expliqué, lors d’un point de presse, que la décision s’inscrit dans le cadre du «libre exercice de la souveraineté nationalité», soulignant que