Les réponses du Maroc aux recommandations du Conseil des droits de l’Homme n’ont pas satisfaits des représentants d’ONG internationales ayant une expérience dans le domaine. En revanche, elles ont été applaudies par des Etats connus pour leurs sombres bilans dans le respect des droits de l’Homme.
«L’envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara occidental devrait se rendre au royaume pendant la deuxième semaine d’octobre», nous confie une source proche du dossier. Cette escale marocaine entre dans le cadre de la première tournée de l’Allemand Horst Köhler dans la région, et ce depuis sa prise de fonction officielle le 8 septembre dernier. Le choix du timing de sa visite
Une mauvaise nouvelle pour le Maroc en provenance de Genève. Un rapport du Conseil des droits de l’homme (CDH) des Nations unies intègre le royaume dans la liste noire des pays qui répriment les militants des droits de l’homme ayant coopéré avec l’organisme onusien. La liste comprend 29 pays ; une hausse conséquente par rapport aux années précédentes où le nombre oscillait entre 15 et 20. Le
Saâdeddine El Othmani peaufine son premier projet de loi de finances, sachant que le PLF de 2017 était l’œuvre de l’équipe Benkirane. Ainsi, il a reçu mardi au siège de la présidence du gouvernement une délégation de la CGEM, conduite par sa présidente Miriem Bensalah-Chaqroun. Le lendemain, ce fut au tour de représentants des centrales syndicales de prendre langue avec le chef de l’exécutif.
Après le festival Tanjazz, les militants anti-normalisation avec Israël ont mis le cap sur le prochain congrès de l’Istiqlal. Une cible qui surprend alors qu'ils s'étaient montrés silencieux à l’occasion de la Hiloula de Rabbi Haïm Pinto à Essaouira.
Après l’affaire de l’ambassadeur Hamid Chabar, Nouakchott a décidé de donner un nouveau coup d’accélérateur à son rapprochement avec le Polisario. Hier, le président de la Chambre des représentants en Mauritanie, Mohamed Ould Boïlil, s’est entretenu avec Sedoum Ely Salem, président du "groupe d’amitié sahraoui-mauritanien au parlement du Polisario". La réunion a été
Le départ de Nkosazana Dlamini-Zuma de la présidence de la Commission de l’Union africaine a contraint l’Algérie de se tourner vers un autre acteur pour défendes ses positions. Le président du Conseil de paix et de sécurité, l’Algérien Smail Chergui, est pressenti pour assumer le rôle jouait auparavant par la Sud-africaine. D'ailleurs, il s'est réuni hier soir avec Horst Kohler.
Le chef du Bureau central des investigations judiciaires (BCIJ) ne partage pas les expulsions de Marocains décrétées par les autorités italiennes sous prétexte de liens présumés avec l'organisation «Etat islamique». «Il n’y a pas de preuves tangibles qui confirment leurs implications et le fait qu’ils ne soient pas poursuivis par la justice marocaine est la preuve de leurs innocence», a
Contrairement à certains technocrates qui adhèrent à des partis uniquement pour se plier aux exigences du maroquin, Mohamed Hassad fait figure d’exception. L’ancien ministre de l’Intérieur est désormais l’homme fort du Mouvement populaire, une composante de la majorité gouvernementale.
Le salafiste Omar Haddouchi n’a pas résisté à la tentation d’être au cœur de l’actualité. Adepte des sorties fracassantes, il vient d’en commettre une nouvelle. Cette fois, le «prédicateur» s’attaque aux grâces royales. Avec un retard de plusieurs semaines, Haddouchi tire à boulets rouges sur la gestion d’une prérogative exclusivement du ressort du souverain. La grâce qui