Le bureau politique du Parti du progrès et du socialisme (PPS) invite, dans un communiqué, le gouvernement El Othmani à être attentif aux «différentes revendications exprimées dans les provinces du pays ou sur les réseaux sociaux». L’instance a mis l’accent sur «la nécessité d’accorder un traitement positif à toutes les formes de revendications qui s’opèrent dans le cadre
Après deux jours de silence, le Koweït commente enfin la rupture des relations diplomatiques entre le Maroc et l’Iran. L’émirat a choisi de réagir encore une fois par la voix d’une «source anonyme» au sein du ministère des Affaires étrangères.«L’Etat du Koweït dénonce et rejette toute tentative portant atteinte à la sécurité, la stabilité et à
Le ministère algérien des Affaires étrangères examinerait la possibilité de représailles contre le Maroc. Le département de Messahel aurait arrêté une liste de sanctions qu'il aurait soumis à l'approbation du président Abdelaziz Bouteflika.
Après le Hezbollah, le Polisario et l'ambassade iranienne à Alger, c'est au tour des autorités algériennes de rejeter les accusations marocaines à l'encontre de l'organisation chiite libanaise. L'ambassadeur du royaume en Algérie a été reçu ce mercredi au siège du département de Messahel. Face à ce développement, la réaction de Rabat ne s'est pas faite attendre.
Même si le ministre des Affaires étrangères a nié tout lien entre la rupture avec l'Iran et le contexte international, il y a de fortes chances que la décision pourrait booster la cote du royaume auprès de ses partenaires étrangers, à commencer par les Etats-Unis où des faucons anti-Iran occupent les postes clés au sein de l'administration Trump.
Les Emirats arabes unis, le Bahreïn, le Qatar et l'Arabie saoudite sont les premiers à témoigner de leur solidarité avec le Maroc, suite à l'annonce de sa rupture de ses relations diplomatiques avec l'Iran. Le Koweït observe pour l'instant le silence.
A son tour de réagir à la rupture des liens diplomatiques entre le Maroc et l’Iran : le Polisario nie toute collusion avec le Hezbollah libanais. Dans des déclarations à l'agence EFE, le porte-parole du Front assure que les accusations marocaines relève du «mensonge». Le responsable a invité la partie marocaine à «fournir des preuves» à «ses fausses allégations».Selon lui, la
Le Hezbollah a réagi à la rupture des relations entre le Maroc et l'Iran. Le mouvement dément les accusations marocaines faisant état de l'envoi d'armes au Polisario.«Il est regrettable que le Maroc recours, par la pression américaine, israélienne et celle de l’Arabie Saoudite, à proférer des fausses accusations», annonce l'organisation chiite dans un communiqué, soulignant qu’ «il incombait au
Cette année, le Maroc a marqué des points lors de l’examen de la question du Sahara au Conseil de sécurité. Les éloges des Etats-Unis au plan d’autonomie, le rejet de la Russie d’élargir le mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de humains et la position de la Grande-Bretagne sur le statut du Sahara, sont des raisons de satisfaction pour les responsables marocains. Mais la vigilance reste de mise.
Ce 1e mai 2018 marque une nouvelle rupture des relations diplomatiques entre le Maroc et l’Iran. Le royaume dénonce ainsi l’implication du Hezbollah dans le soutien au Front Polisario.