Après la débâcle aux JO de Londres, marquée par les fameux trois cas de dopages (Siham Selsouli, Abderrahim Goumri et Amin Laâlou), le même scénario (sans dopage) s’est répété aux mondiaux de Moscou. Criant leurs ras-le-bol, deux athlètes, Abdelati Iguider et Mohamed Mestaoui ont vidé leurs sacs, depuis la capitale russe.
Durant plus de trois heures, les islamistes marocains, à l’exception du PJD, ont organisé, dimanche, une marche de solidarité avec les Frères musulmans.
Après l’Algérie, la Mauritanie, la Libye, le Mali, AQMI vient d’étendre ses activités à la Tunisie. Au Maroc, la menace est bien réelle. Sur la base d’investigations de la DST, la police a arrêté quatre personnes présentées comme ayant des liens avec AQMI. Une interpellation qui intervient trois jours seulement après qu’un diplomate américain ait alerté du danger des hommes de
Daniel Galvan est une affaire très brûlante. S’en approcher et en sortir indemne n’est guère garanti. Le ministre du Tourisme, Lahcen Haddad, en sait, d'ailleurs, quelque chose. Ses déclarations à une chaine française au sujet du tourisme sexuel suscitent l’ire de la mairesse de Marrakech. Les détails.
Une fois n’est pas coutume, c’est le gouvernement Rajoy qui est le principal lobby pour le Maroc au parlement européen. L’exécutif espagnol tient à ce que les eurodéputés valident "rapidement" le protocole de pêche. C’est une «affaire d’Etat» indique le ministre de l’Agriculture, Miguel Arias Cañete.
L’an dernier la cérémonie d’allégeance a été perturbée par une manifestation, à Rabat, d’un groupe d’opposants à ce rituel. Une première. Cette année, en l’absence de sit-in de ce genre, c’est le refus d’un député istiqlalien d’assister à cet acte qui a ravi la vedette. Son parti, par la voie de la jeunesse de la Balance, vient de prendre ses distances
Le MUR, Al Karama et Al Adl wal Ihssane sont les premiers à dénoncer l’intervention de l’armée contre les Frères musulmans. Le PPS de Nabil Benabdellah exprime une position presque similaire a celle des islamistes. En revanche, du côté du PJD de Benkirane, c’est le silence qui prévaut.
Depuis le 24 juillet, Adil El Otmani observe une grève de la faim dans la prison Moul El Bergui de Safi. Une période durant laquelle, il a publié deux communiqués. La sortie du premier lui a valu une visite d’agents de la DST. Un interrogatoire ponctué d’insultes et conclu par la présentation d’un PV déjà écrit que l’ancien vendeur de chaussures aurait refusé de cautionner.
Au Maroc, la norme est de dire toujours dire oui au Makhzen. Refuser son ordre équivaut à un sacrilège. Rares sont les Marocains qui osent le commettre. Mais il y a de rares exceptions, en voici quelques exemples.
Une semaine après l’arrestation de Daniel Galvan dans un hôtel de Murcie, l’avocat du pédophile indique que son client souffre de «problèmes mentaux» et réclame, en conséquence, de lui accorder des «circonstances atténuantes».