Au lendemain de la publication, dimanche, des sanctions contre des juges, un magistrat s’est donné la mort d’une balle dans la tête, à l'aide d’un fusil de chasse. Sans prendre le soin de s’assurer si le défunt figurait sur la liste noire du Conseil supérieur de la magistrature, des sites d’actualité ont vite fait le lien entre la décision du CSM et ce suicide. Le ministère de la Justice
Abdelilah Benkirane, Salaheddine Mezouar et Hamid Chabat se sont éclipsés de la Une de l’actualité nationale, cédant la place à Driss Lachgar. Le premier secrétaire de l’USFP a fait face, à Tétouan et à Fès, respectivement le vendredi et le samedi, à des jeunes opposants qui l’ont privé, pendant des heures, de parole lors de meetings politiques.
L’ouverture religieuse du Maroc a des limites. Le libre exercice du culte pour les autres confessions n’est, souvent, garanti que pour les hommes et femmes nés de parents non-musulmans. En revanche, pour les Marocains souhaitant embrasser le christianisme ou une autre religion, ils risquent l’emprisonnement : entre six mois et trois ans.
Certains groupes islamistes sunnites bénissent, même en catimini, une campagne militaire des grandes puissances contre le régime du président syrien Bachar. Une option à laquelle s’opposent les chiites marocains.
Après le fameux Echelon destiné à intercepter les communications téléphoniques, le renseignement américain sollicite les services des géants du web pour les mêmes objectifs mais cette fois sur internet. Facebook vient de publier une liste des pays qui frappent à sa porte à la recherche de plus de données sur les abonnés du réseau social. Le Maroc y est absent. Et pour cause, nos commissariats de
A défaut d’une union du Maghreb, otage depuis bien des années du conflit du Sahara occidental, le roi Mohammed VI se prononce pour consolider davantage des liens du royaume avec les pays subsahariens. Une priorité est accordée à la CEN-SAD. Le Maroc a une carte à jouer au Sahel, d’autant que le régime de Kadhafi n’est plus et l’Algérie n’est pas membre de ce groupement.
Encore une fois la situation des droits de l’Homme au Sahara occidental sera examinée par le Parlement européen. Le rendez-vous pourrait avoir lieu dans deux semaines, a indiqué l’eurodéputé Jonathan Lis. Cette fois, l’accent sera mis sur les ressources halieutiques, agricoles et minières de la région.
Le gouvernement Benkirane II se laisse désirer. Le chef du gouvernement a laissé entendre, dimanche à Casablanca, que les discussions avec son futur allié, le RNI, étaient dans l’impasse. Le secrétaire général du PJD s’attend à une intervention du palais pour dénouer la crise et éviter le recours à des législatives anticipées. Abderrahman El Youssoufi et Abbas El Fassi avaient
La mobilisation du lobby du Polisario au sein du parlement européen ne faiblit pas. A l’approche de l’examen, en octobre prochain, du nouveau protocole de pêche par une commission au parlement européen, dix eurodéputés viennent d’interpeller le chef de la diplomatie de l’UE sur les visites de délégations étrangères au Sahara occidental.
Le Maroc n’a pas pris part à la réunion, la semaine dernière en Jordanie, des chefs des armées de dix pays arabes. Mais, cela ne l’a pas empêché de se joindre aux partisans de la solution militaire contre Bachar el-Assad. Un régime avec lequel, les relations n’ont jamais été vraiment bonnes. Et pour cause, Damas abrite, depuis des années, une représentation du Polisario. Pire encore, le tapis rouge