Le gouvernement Benkirane continue de s’endetter. Des partis politiques s’inquiètent des conséquences de la dette sur la stabilité économique du pays, une position que ne partage pas le ministre des Finances.
L’hostilité larvée entre la zaouïa boutchichie et les islamistes marocains a fini par éclater au grand jour à l’occasion de la fête d’Al Mawlid. La confrérie religieuse de Madagh est la cible d’attaques virulentes depuis quelques jours.
Le ministre de la Communication a profité de son intervention lors d’une réunion du «Collectif national pour la langue arabe», lundi soir, pour dénoncer les feuilletons doublés en dialecte que diffusent quotidiennement les chaînes marocaines. En prenant les telenovelas pour cible, El Khalfi évite soigneusement d’alimenter la polémique avec les francophones.
Khat Achahid, un mouvement d’opposition à la direction du Polisario, appelle le roi Mohammed VI à appliquer le plan d’autonomie au Sahara. Pour eux c’est la solution pour «sauver» la population des camps de Tindouf.
Le salafiste Abdelkrim Chadli espère toujours persuader ses anciens compagnons de cellule de rejoindre son projet de courant islamiste réformateur. Il souhaite lancer son mouvement le 11 janvier depuis l’hôtel Farah à Casablanca, l’une des cibles des attentats du 16 mai 2003.
Le 12 décembre le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz recevait une délégation marocaine. Elle comprenant le chef de la DGED, Yassine Mansouri, l’inspecteur général des FAR, le général Bouchaib Arroub et le ministre des Affaires étrangères, Salaheddine Mezouar. Deux semaines plus tard, l’hebdomadaire Al Ousboue affirme qu’à l’issue de cette visite, le royaume a offert des lance-roquettes
Le roi Mohammed VI a adressé un message de condoléance à la famille de Hocine Aït Ahmed, annonce le cabinet royal dans un communiqué relayé par la MAP. Le souverain souligne que «le décès du grand militant et nationaliste feu Ait Ahmed est une perte, non seulement pour son honorable famille, mais également pour l’Algérie sœur qui vient de perdre un de ses leaders historiques ayant mené le combat de
Al Adl wal Ihssane dénonce le verdict de la cour suprême de Téhéran condamnant un groupe de 27 religieux et prédicateurs sunnites à la peine capitale. Ils étaient poursuivis pour «activités hostiles au rite chiite», le seul reconnu officiellement par la constitution iranienne rédigée au lendemain de la chute du régime du Chah Mohammad Reza Pahlavi en 1979. La sentence porte un grave préjudice
Abderrahman El Youssoufi, s’est déplacé dans la capitale algérienne pour présenter ses condoléances aux camarades de Hocine Aït Ahmed. La présence de l’ancien premier ministre marocain au siège du FFS n’est pas passée inaperçue. Des médias locaux ont très rapidement tendu leurs micros pour recueillir ses déclarations. El Youssoufi, les traits tirés, a appelé à
Mohamed Ouzzine, Abdelkader Amara, Habib Choubani, Soumaia Benkhaldoune, Charafat Afilal et Hakima El Hiti, voilà des ministres qui auront marqué l’année 2015 de leur empreinte. Mais si leur nom figure dans ce palmarès, ce n’est pas pour leur action gouvernementale mais à cause de leurs couacs.