La malnutrition avance au Maroc. C’est le constat de l’organisation mondiale de l’alimentation (FAO). La situation n’est pas encore alarmante comme elle est en Afrique subsaharienne.
Reporters sans frontières rappelle au Maroc ses obligations de garantir la liberté d’information au Maroc. Une initiative qui n’est pas du goût du gouvernement. Sur Al Jazeera, son porte-parole estime que RSF présente une «image dolosive» du royaume.
Est-ce le début de la fin de la lune de miel entre le PJD et les salafistes? Ces derniers jouent la carte El Himma pour que le dossier de leurs détenus puisse avancer. Benkirane, après neuf mois à la primature, n’a rien pu faire à ces «frères» salafistes. Et pourtant la Haute délégation des prisons est sous sa tutelle.
La délégation marocaine présente aux funérailles de Chadli Benjedid a réussi sa mission. Azziman et El Otmani ont déjoué tous les pronostics. Ils ont fait mieux que Benkirane et Fassi Fihri. Les deux hommes avaient donné, en avril, un cadeau au Polisario lors des obsèques de Ahmed Ben Bella.
Les urnes ont rendu leur verdict. Le duel entre le PJD et le PAM à Tanger et Marrakech, à l’occasion d’élections partielles, a tourné en faveur des islamistes.
Trois jours après l’installation des membres d’une commission chargée d’élaborer un nouveau code de la presse, le gouvernement décide de retirer l’accréditation du journaliste de l’AFP, Omar Brouksy.
De plus en plus d’imams prennent la destination des pays du Golfe pour y travailler. Les considérations personnelles n’expliquent pas à elles seules cet exode des religiieux, s’opposer à la doctrine wahabite en est l’autre objectif.
La rentrée sociale a bien commencé. Chômage, précarité et des décisions parfois inopportunes des autorités, comme ce qui s’est passé à Sidi Ifni, sont autant d’éléments qui mettent facilement le feu à la poudrière.
Sauf coup de théâtre, la justice marocaine continuera d’instruire le dossier dans lequel le prince Moulay Hicham, membre de la famille royale, poursuit Abdelhadi Khairat, un sujet du roi Mohammed VI, pour diffamation.
Un magistrat marocain a été entendu par la justice pour avoir sollicité, dans une lettre ouverte à Mustapha Ramid, l’arrestation de l’eurodéputée, d’origine marocaine, Rachida Dati.