Le dossier des mariages des mineures atterri au Conseil supérieur des oulémas. Le PJD a demandé, hier, l’avis à l’une des structures de l’islam officiel au Maroc. Une manœuvre pour gagner du temps et mettre dans l’embarras les religieux, sachant qu’en 2008, le Conseil s’était prononcé pour le mariage à 18 ans.
A l’USFP, c’est la crise qui prévaut. Lachgar n’est pas parvenu, aujourd’hui, à se débarrasser d’Ahmed Zaidi. Celui-ci, fort du soutien de 27 députés, s’accroche toujours à la présidence du groupe parlementaire.
Le volume des échanges commerciaux entre le Maroc et le Pérou ne dépasse pas les 50 millions de dollars par an. En visite officielle à Lima, Karim Gellab a proposé la signature d’un accord de libre-échange. Dans le viseur des officiels marocains, outre le Pérou, les autres Etats de l’Alliance du Pacifique (le Maroc étant un membre observateur). Le royaume parie sur l’économie pour consolider sa présence
La nomination de l’ancien chargé d’affaire mauritanien, Ould Lakhel, à Rabat au poste d’ambassadeur à Bamako, n’a pas laissé les autorités marocaines indifférentes. La machine diplomatique marocaine s’est mobilisée assez rapidement pour demander des explications aux responsables de Nouakchott. Une entreprise qui semble avoir réussi.
Il y a quelques semaines un différend a opposé le PJD à Karim Ghellab au sujet du projet de la chaîne parlementaire que l’sitiqlalien voulait lancer avant qu’il ne quitte le perchoir. Un autre front de tension entre les deux parties est sur le point d’éclater. Il concerne cette fois, les aides de l’Union européenne.
Une partie du conflit ouvert entre le Maroc et le Polisario se joue, actuellement, au Pérou. L’ambassade du royaume à Lima réplique aux sorties médiatiques agressives à l’égard du royaume du président de l’association locale de soutien au Front. L’intervention de la diplomate n’a guère trouvé grâce aux yeux des milieux proches des amis du Polisario. Ces derniers tentent de convaincre les
Les relations maroco-mauritaniennes se dirigent-elles vers une rupture officielle ? Les informations en provenance du pays du général-président Abdelaziz laissent peu de chance à un retour à l’embellie entre Rabat et Nouakchott. Explications.
Il y a des signes qui ne trompent pas. Rabat et Paris sont sur le point de tourner la page de l’affaire Hammouchi. Le cycle des visites des ministres des deux pays a repris son cours normal. Ainsi, Christiane Taubira se rendra, début avril, au Maroc. C’est une ministre PJDiste qui l’a annoncé sur France 24. Détails.
Une dizaine de personnes ont participé, hier soir, à un sit-in devant l’ambassade égyptienne à Rabat. Une initiative à l’appel de plusieurs associations marocaines, dont notamment l’Observatoire de lutte contre la normalisation avec Israël, afin de dénoncer le refus des autorités du Caire de laisser passer des militantes des droits de l’homme vers Gaza. Pour rappel, le mercredi 5 mars, le gouvernement égyptien
Les Marocaines seront-elles nombreuses pour réclamer leurs libertés sexuelles, mercredi prochain devant le parlement ? Amnesty a lancé un appel au sit-in. L’ONG demande aux autorités marocaines l’abrogation de plusieurs articles du code pénal qu’elle juge discriminatoires à l’égard de la gent féminine. La réaction de Mustapha Ramid n'a pas tardé, le ministre promet de nouveaux amendements pour