Aujourd’hui mes pensées m’envahissent, les ambigüités aussi essaient de prendre le dessus. Aimer, avec un grand A une personne aussi attachante, aussi désireuse d’être comblée par tout l’amour qu’un homme peut lui apporter. Comment aimer, avec un passé aussi douloureux ? Comment faire oublier les choses, même si cela reste inoubliable ? Avancer, en se préoccupant de sa tendre et chère femme. Penser à soi, le retard accumulée dans la compréhension, et la mise en pratique de sa religion. Délaisser sa femme, pour avancer seul, et Allah seul demandera à tout homme, le berger de la famille, qu’as-tu fait avec ta femme ?
L’a tu protéger ? Lui as-tu prêté une oreille bienveillante ? Lui as-tu appris les bases de la religion ? L’as-tu protégé elle et son couple ? L’as-tu préservée ? Lui as-tu donné tout son droit, qu’elle soit aimée, qu’elle fasse partie de tes priorités ? L’as-tu blessé ? Comment te comportais-tu avec elle et tes enfants ? Lui as-tu donnée un cadre de vie et une vision commune vers laquelle se diriger ? C'est-à-dire dans l’obéissance d’Allah.
Comment avancer avec ce passé qui nous colle à la peau. Ecouter ta femme pour la préservation de ton couple, est un mal en soi ? Je pense que non, car le but final c’est bien de sauver ta femme, tes enfants d’un feu ardent. Avancer, oui, mais pas à la même vitesse.
Lui adresses-tu des paroles douces et convenables ? Lui prépares-tu à manger ? L’aide tu dans ce qu’elle entreprend ? L’aimes tu à sa juste valeur ? L’aide tu dans le quotidien ? La préserves-tu ?
Faire face, à une personne qui a été meurtrie, blessée et qui attendait ton soutien qui n’est jamais arrivé. Pourquoi la délaisses-tu ? Doutes-tu de ton amour ? Avances-tu avec elle dans la bienfaisance et dans l’entraide ? Par moments je me demande suis-je capable de donner de l’amour ? Même dans mes plus profonds retranchement, je me demande si j’au un cœur vivant, ou bien si ce dernier est mort !! Le but, n’est ce pas d’avancer à 2 dans la même direction ? Certes chacun a ses défauts ses qualités, mais personne n’est parfait. Ta femme, la future femme de tes enfants n’est elle pas incomprise dans ce qu’elle a pu vivre ?
Rejetée dès le début par ta famille. Envieuse d’avancer et d’aller vers une officialisation, qui par la suite n’a donnée aucune suite dans la continuité. La battante qu’elle est lorsque le couple était dans l’implosion, et qu’elle a décidée, par amour d’avoir une explication, et de sauver son couple, malgré le fait qu’elle est était rejetée.
L’analyse perspicace qui envahit ce bout de femme, est d’une subtilité, qui en ferais rougir plus d’une. Analyse corporelle, analyse visuelle, analyse comportementale, analyse gestuelle, rien ne lui échappe. Alors comment délaisser cette femme, seule face à elle-même. La moindre choses est repérée, analysée sur le champ, tel un microprocesseur ! Analyse grammaticale, analyse des mots utilisés, analyse de la manière de prononcer les paroles… Rien ne lui échappe. Certes est ce un don d’Allah ? Est ce une sagesse d’Allah qui m’a mis cette femme, aussi perspicace qu’un missile, sur mon chemin.
L’union, comme elle le dit, est digne d’un film marocain à l’ancienne. Un père ne voulant pas aller devant l’imam, et l’homme, sous l’impulsion de sa femme, qui va seul devant un imam, pour un mariage hallal, non accompagné par sa famille.
Famille : union, soudé, compréhensif, entraide mutuelle, nouvelles continuelles. Famille avec une belle mère : désoudage, montage de crane, désunion, clan, division, inexistence d’un père.
Frère ayant fui la maison assez tôt, marié et menant une vie de ce pays.
Pour ma part choix n°2 avec en prime, le carton du mauvais canard, petit méchant de la famille. Quel crime ais je commis ? Me marier religieusement devant un imam, sans l’approbation d’un père, car ce dernier voulait que je passe à la mairie en premier ? Avoir choisi une personne au fort caractère, qui remet en place toute personne, qui se mettrait sur son chemin.
Certes la grande erreur que j’ai pu faire, et Qadr Allah, c’est de ne pas avoir fait respecter ma femme vis-à-vis de ma famille. Ne pas m’être imposé dès le départ, et l’avoir imposé?
Notre fiançailles, digne d’un conte de … (je cherche encore le mot…)… Préparation 100% belle famille, mais ma famille aucune aide, aucun coup de téléphone, aucun centimes d’euros donné… Venu en tant qu’invitée, aux propres fiançailles de son fils.
De plus, une mère que l’on apprend à redécouvrir à 27 ans seulement, car absente toute cette période. Mère malade, et ma femme doit en subir, la charge.
Trop de coups pris, trop d’investissement de la femme, pour un retour inexistant de la part de son propre mari. Le mari que fait-il ? A-t-il peur de la réaction de ses proches de refaire surgir les coups bas, que sa femme a pu subir par leurs fautes ? Est-il sûr de lui ? Avances t il seul ou avec sa femme à 2 ? De plus, femme au début non pratiquante, et el amdouleh depuis quelque temps, Allah l’a guide dans l’accomplissement des prières. L’homme a tout, par la grâce d’Allah, entre ses mains.
Un respect à faire revenir. Une femme qui fait des efforts dans la religion. Une femme qui est motivée pour son évolution personnelle. Une femme qui se bat pour obtenir ce qu’elle veut.
Le mari pratiquant, aujourd’hui à quoi ressemble t il ? Il fait ses prières à la mosquée en délaissant sa femme ? Il apprend sa religion en faisant abstraction de sa femme ? Il laisse sa femme blessée par les torts qu’elle a subie ? Il ne l’aide pas dans l’accomplissement des bonnes œuvres ? Il lui reproche son Islam ? Il oublie de discute de tout et rien avec elle ?
Réflexion est de mise, afin d’avancer dans une ligne qui se doit d’être droite. Le couple, le respect mutuel, l’union fait la force et l’envie perpétuel d’avance Bin’dillah.
Tres beau message qui reflete tout a fais ce que vie la plupart des epouses mais c est une fois qu on perd la personne que l on se rend compte de son importance quAllah nous ouvre le coeur avant qu il soit trop tard Allah ouma amine
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